Au masculin … la ménopause n’existe pas !

La vie d’une femme est traversée par de profonds bouleversements hormonaux. La grossesse, le « baby blues » et la ménopause en sont les étapes primordiales. Qu’en est-il de nous, les hommes ?

Moi, j’ai la cinquantaine passée…
Parfois, je me sens stressé… Parfois, je me sens épuisé…
Parfois, j’ai du mal à gérer certaines de mes responsabilités…

Mais j’ai toujours était un homme actif… alors, pourquoi aujourd’hui ai-je certains coups de déprime ?
Pourquoi n’ai-je plus autant de désirs amoureux ?

Pourquoi de temps en temps je ressens ce sentiment «d’être mal dans mon corps » ?

Est-ce cela la vieillesse masculine ?   Non ! La « ménopause masculine » n’existe pas ! Nous, les hommes, nous ne connaitrons  jamais cette déficience hormonale vieillissante…

Je suis un homme… mais que m’arrive-t-il ?
Est-ce un état de conscience prédominant de ma jeunesse et des années qui passent ?

Arrivé à la cinquantaine…  Que nous arrive-t-il ? Et qu’en est-il de nous, les hommes ? Tout savoir sur l’andropause

L’andropause, également appelée le DALA (déficit androgénique lié à l’âge) est une réalité qui frappe, à intensité variable, un homme sur trois. Ce n’est pas un mythe inventé par les lobbies pharmaceutiques, mais une véritable épreuve causée par la baisse progressive des hormones masculines (notamment la testostérone). L’andropause ne marque pas l’arrêt de la fertilité (l’homme reste capable de procréer jusqu’à un âge très avancé), mais demeure inquiétante en raison de ces symptômes déroutants. Baisse considérable de la libido, absence d’érections matinales, fantasmes fréquents de relations sexuelles inédites, fatigue, irritabilité, accumulation des graisses autour du ventre, transpiration excessive, insomnie… nombreux sont des indices de transition de vie vers un « climatère » masculin.  Souvent ces symptômes s’installent si insidieusement que celui qui en pâtit n’y prête pas d’attention.

L’andropause pourrait se manifester vers l’âge de 40-45 ans. Silencieusement mais progressivement, la testostérone (hormone du désir sexuel) se transforme en dihydrotestostérone (dérivé actif de la testostérone, dit « testostérone de la vieillesse »). L’accumulation de cette molécule délétère stimule la croissance malsaine de la prostate et accélère la chute des cheveux. Il s’avère également que beaucoup d’hommes, lorsqu’ils vieillissent, convertissent trop de testostérone en œstrogènes (hormones féminines). Un taux plus élevé d’œstrogènes contribue à l’augmentation de la taille de la prostate, engendre l’accumulation de graisses abdominales et nuit considérablement à la vigueur sexuelle. Finalement, passé la cinquantaine, l’hormone du désir sexuel a la tendance à se lier à certaines protéines sanguines dites « voiturières ». Alors que la testostérone « libre » stimule les sites sexuels du cerveau, sa forme « liée » est totalement inopérante et n’agit plus sur la libido. Les érections étant de plus en plus difficiles à obtenir, la fréquence des rapports sexuels diminue. Poursuivis par un cortège de contrariétés psychologiques (sous-estimation, déception, angoisse, colère, déprime), les hommes se plaignent de « ne plus être l’homme qu’ils ont été »…

Qu’en est-il des traitements ? À l’heure de la fameuse pilule bleue faisons le point sur les solutions naturelles.

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