Une affaire d’hommes

Pas de sexualité active sans testostérone… active ! Le problème est qu’une grande partie de la testostérone se fixe à une protéine spécifique : la SHBG. C’est cette protéine si particulière qui, une fois dans la circulation sanguine, s’accroche solidement à la testostérone et la rend complètement inutile. En vieillissant, de plus en plus de molécules de testostérone se trouvent emprisonnées de cette façon… La conséquence ? Le baromètre de la masculinité n’est plus au beau fixe !

Qu’est-ce que la testostérone active ?

Il faut savoir qu’à chaque hormone correspond son véhicule sanguin. Ainsi, la testostérone se lie soit à la SHBG soit à l’albumine, son deuxième transporteur. La différence entre les deux ? La testostérone liée à l’albumine s’en dissocie aisément. Elle est qualifiée disponible et donc biologiquement active. Par contre, la testostérone liée à la SHBG ne peut plus se libérer : elle est emprisonnée, en quelque sorte. En vieillissant, de plus en plus de testostérone se trouvent cadenassées de cette façon… Il s’en suit une diminution de testostérone active, une augmentation parallèle de testostérone inopérante et donc un effondrement graduel des capacités érectiles !

Et si cette plante vous donnait les moyens de retrouver le plaisir ?

Tongkat Ali, Pasak Bumi, Long Jack ou encore Viagra Malaisien… Autant de pseudonymes d’Eurycoma longifolia, plante des forets tropicales de la Malaisie et de l’Indonésie. Elle est surtout connue pour sa capacité extraordinaire de faire chuter le taux de SHBG de…  66% ! Cette plante est utilisée depuis des centaines d’années pour obtenir une rigidité pleinement solide du membre viril.

Qu’en est-il de la science ?

La prise prolongée d’Eurycoma longifolia est associée à des meilleurs scores de l’Index International de la Fonction Erectile, scores visant à évaluer la sexualité des hommes. Elle accroît la libido (+14%), augmente le volume de l’éjaculat (+18,2%) et améliore la qualité des spermatozoïdes en termes de motilité (+44%) au bout de 12 semaines1. Améliorant le bien-être physique, psychologique et sexuel, Eurycoma longifolia agit aussi bien sur la dysfonction érectile que sur l’infertilité masculine2.

Mais la virilité et la fertilité ne sont pas seules à se réjouir du soutien de l’Eurycoma longifolia. Cette racine est aussi efficace pour réduire le taux d’hormone de stress : le cortisol. Son apport diminue la tension nerveuse (-11%), dissipe la colère (-12%), vainc la confusion mentale (-15%), tout en augmentant le taux de testostérone totale (+37%). Source d’une agréable sensation de détente et de bien-être, Eurycoma longifolia est particulièrement bénéfique pour les personnes grincheuses, irritables ou hyperémotives, souffrant de stress permanent, de dépression nerveuse et de fatigue chronique3.

Enfin, Eurycoma longifolia augmente la masse maigre et la force musculaire des participants d’un âge avancé. C’est un ergogénique d’exception, qui accélère la récupération après un exercice physique intense4.

Comment choisir un bon supplément d’Eurycoma longifolia ?

Tous les essais cliniques humains ont été effectués avec un extrait breveté LJ-100®, mis au point par les chercheurs de l’Institut de Recherches Forestières de Malaisie. Prendre LJ-100® c’est assurément la stratégie la plus simple, la plus efficace et la plus sûre de se prémunir de la SHBG et d’améliorer significativement les performances sexuelles !

Références :

  1. Ismail SB. Randomized Clinical Trial on the Use of PHYSTA Freeze-Dried Water Extract of Eurycoma longifolia for the Improvement of Quality of Life and Sexual Well-Being in Men. Evid Based Complement Alternat Med. 2012; 2012:429268.
  2. Tambi MI, Imran MK. Eurycoma longifolia Jack in managing idiopathic male infertility. Asian J Androl. 2010;10(3):376–80.
  3. Talbott SM et al. Effect of Tongkat Ali on stress hormones and psychological mood state in moderately stressed subjects. J Int Soc Sports Nutr. 2013 May 26;10(1):28
  4. Hamzah S, Yusof A. The ergogenic effects of Tongkat ali (Eurycoma longifolia): A pilot study. British J Sports Med. 2003;10:464–470.
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