Les cinq meilleurs suppléments anti-cancer

Certains nutriments posséderaient des propriétés anticancéreuses tellement puissantes, que l’on pourrait les utiliser pour se prémunir contre la maladie et, dans certains cas, pour en freiner l’évolution. Trop beau pour être vrai, pensez-vous ? Et pourtant … Lisez attentivement ce qui suit.

Ashwagandha , Les withanolides, molécules bioactives du ginseng indien freinent la croissance de nouveaux vaisseaux sanguins autour de la tumeur. De ce fait, elles privent les cellules cancéreuses d’énergie et de nourriture, réduisant ainsi la croissance anarchique de tumeurs (sein, système nerveux central, côlon, poumon). Les withanolides empêchent la migration des cellules cancéreuses, en détruisant leur «molécules d’ancrage» (molécules qui aident les cellules cancéreuses à quitter leur foyer initial, puis à s’implanter dans un nouveau site à distance). Leur apport permettrait de stopper la propagation cancéreuse … feux rouge à la dissémination des métastases !


Vitamine D3 , Un apport suffisant en vitamine D3 (de l’ordre 1000 UI par jour) réduit le risque global de nombreux cancers (colon, rectum, sein, prostate, pancréas). En effet, la vitamine D3 empêcherait la « transformation » des premières cellules précancéreuses en cellules malignes meurtrières. Elle ordonnerait aux cellules potentiellement dangereuses de se comporter… comme des cellules saines !


Curcuma , Cette épice contient une substance appelée curcumine qui aide le corps à se « débarrasser » des cellules cancéreuses. Prise en doses élevées (jusqu’à 8 g par jour), la curcumine augmenterait la sensibilité des tumeurs aux traitements conventionnels. Associée à la radiothérapie ou/et à la chimiothérapie, la curcumine pousserait les cellules tumorales au suicide en quelque sorte !


Lycopène , Pigment principal des tomates et de la pastèque, le lycopène épargne la bibliothèque génétique (ADN) des effets nocifs des mutagènes (rayons UV, tabac, pollution) étroitement impliqués dans l’apparition des formations cancéreuses. Il aurait un effet protecteur contre le cancer de la prostate, du poumon et de l’estomac.


Sélénium , Un apport régulier en sélénium réduirait le risque d’apparition du cancer de la prostate, de l’œsophage, du poumon et des polypes précancéreux du côlon. Le sélénium permet de capturer les radicaux libres, d’emprisonner les métaux lourds et de stimuler les défenses naturelles du corps, jouant un rôle primordial dans la prévention anticancéreuse. Une carence chronique en sélénium aiderait les cellules précancéreuses à déjouer le système immunitaire et à poursuivre leur parcours du combattant.

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2 Comments

  1. Vitamine D : grâce au soleil (mais sans coups de soleil !) et aux poissons notamment. Et avec des suppléments de synthèse en hiver.
    Curcuma : accompagné de poivre noir; cela décuple ses propriétés.
    Lycopène : davantage biodisponible dans la tomate cuite (sauce tomate).
    Sélénium : avec 3 noix du Brésil on fait le plein pour la journée.

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