Rajeunissez… Faites l’amour plus de 20 fois par mois!

Le sexe est-il bon pour la santé ?

Oui! Mais hormis ses bienfaits sur le stress, le moral, la fatigue, la douleur et même sur la fréquence des bouffées de chaleur, il apparaît que ceux ou celles qui continuent à avoir des rapports sexuels à un âge avancé augmentent significativement leur espérance de vie! Selon une étude menée pendant 10 ans sur 3500 hommes et femmes âgés de 18 à 102 ans, le sexe rajeunit votre apparence physique d’une dizaine d’années!

Il n’y a pas que du botox… n’est ce pas?

C’est un fait des plus établi, que le sexe intense protège contre l’apparition de certains cancers. Dans une étude américaine de grande envergure, 29 342 hommes âgés de 46 à 81 ans ont été observés durant huit ans. Les médecins ont évalué leur comportement sexuel ainsi que la fréquence de leurs émissions à l’aide d’un questionnaire personnalisé. Contre toute attente lors de l’analyse des résultats, on constate que ceux qui ont eu une moyenne de 21 éjaculations par mois (plaisirs solitaires compris) ont considérablement réduit le risque du cancer de la prostate ! Une autre étude approuve qu’une sexualité dynamique à un âge avancé, ainsi qu’un taux accru d’hormones mâles (notamment, de la testostérone «total» et de la testostérone «libre») jouent un rôle primordial dans la protection contre cette maladie invalidante.

Quant aux femmes? Une sécrétion accrue d’ocytocine (hormone de l’attachement) durant un acte sexuel améliore considérablement l’humeur des dames ! Faire l’amour plus souvent, optimise chez la femme une sensibilité accrue. Une femme sexuellement active a également meilleure confiance en soi et a de meilleures fonctions cognitives (mémoire, concentration, attention, etc…).

Le sexe intense brûle autant de calories qu’un sport de haute endurance. C’est un moyen simple et sain pour la sveltesse d’une ligne parfaite qui concurrence la plupart des produits pharmaceutiques amaigrissants!

Référence: Leitzmann MF, Platz EA, Stampfer MJ, Willett WC, Giovannucci E. Ejaculation frequency and subsequent risk of prostate cancer. JAMA. 2004 Apr 7;291(13):1578-86.