Les cinq questions les plus fréquentes sur les vaccins

Question numéro 1 : Qu’est-ce qu’un vaccin ?

Un vaccin est une préparation faite à partir de bactéries ou de virus tués ou affaiblis. Il a pour but d’aider notre système immunitaire à se défendre contre les microbes avec lesquels nous pourrions être en contact à l’avenir. On les utilise généralement en prévention, pour éviter l’apparition d’une maladie potentiellement mortelle.

Question numéro 2 : Les vaccins, sont-ils dangereux pour la santé ?

Les vaccins peuvent provoquer des réactions telles que la fièvre, la rougeur ou la sensibilité accrue au point d’injection. Il faut savoir que la plupart des vaccins sont élaborés sur l’œuf (fluide embryonnaire ou embryon de poussin) à l’aide de cultures de microbes. Ils sont donc contre-indiqués chez les personnes allergiques aux protéines de l’œuf (ovomucoïde, ovalbumine, conalbumine, lyzozyme, livétine, etc.).

Question numéro 3 : Les vaccins, affaiblissent-ils le système immunitaire ?

Il est généralement admis que les vaccins renforcent les défenses naturelles. Cependant, certains vaccins combinés, composés d’une multitude d’antigènes, répriment le système immunitaire. Ils ne doivent donc être injectés aux personnes souffrantes d’une immunodéficience (innée ou acquise) sévère.

Question numéro 4 : Faut-il se faire vacciner contre des maladies éradiquées ?

Bien que certaines maladies soient quasiment éradiquées en France, il demeure possible de les contracter durant des voyages. De plus, les personnes vaccinées contribuent à prévenir la transmission de maladies aux personnes qui ne peuvent pas recevoir de vaccins, pour toutes sortes de raisons (allergies, troubles neurologiques, etc.). La protection que confèrent les vaccins ne se limite donc pas aux personnes qui les reçoivent.

Question numéro 5 : Les vaccins, renferment-ils des substances toxiques ?

Certains vaccins renferment du thiomersal (dérivé toxique de mercure), des sels d’aluminium (appliqués dans l’apparition des maladies d’Alzheimer et de Parkinson) ou du formaldéhyde (cancérogène reconnu). D’autres contiennent du phénoxyéthanol responsable d’allergies cutanées et de troubles neurologiques ou du borate de sodium utilisé dans les insecticides et la mort aux rats. Enfin, quelques vaccins comprennent les cellules diploïdes humaines provenant du tissu fœtal d’avortements. Ainsi, les vaccins proposés doivent toujours être accompagnés d’une réflexion au préalable et c’est de notre responsabilité de nous renseigner sur ce sujet auprès d’un médecin !