La testostérone : Une hormone endiablée !

La testostérone, hormone de l’ardeur, de la conquête et de la confiance en soi, nous rajeunit et nous rend amoureux ! Elle facilite ainsi les performances sexuelles et ravive les sensations au quotidien. Un taux peu élevé de testostérone donne des érections nocturnes mais n’autorise pas la rigidité pénienne pour un acte sexuel accompli. Un déficit plus important est responsable d’un pénis flasque, des testicules mous et d’une accumulation excessive de graisses abdominales. Ces phénomènes s’accompagnent souvent d’un manque de libido, d’une dépression, d’un relâchement musculaire, d’un teint pâle et d’un déclin rapide des capacités physiques et mentales. La plupart des symptômes s’installent si insidieusement que celui qui en pâtit n’y prête pas d’attention.

La production de testostérone atteint son apogée à la fin de l’adolescence. Vers la trentaine, irrémédiablement, le déclin s’amorce au rythme de plus de 1 % par an, telle une chute inéluctable nous conduisant au dernier soupir de notre sexualité !

Malheureusement, la prise de testostérone, même à un âge avancé, n’a pas très bonne réputation. On la considère souvent comme une sorte de drogue, un stéroïde anabolisant qui gonfle les muscles des bodybuilders et propulse les athlètes au sommet de la gloire sportive. Les rumeurs veulent que la testostérone rend agressif, couvre le corps de boutons et travaille «à arracher les cheveux», conduisant à la calvitie prématurée…

Qu’en est-il de la science? On a découvert qu’une baisse de testostérone favorise l’apparition des allergies, de l’arthrite rhumatoïde, du psoriasis, de l’asthme et d’autres maladies inflammatoires. Faute de cette hormone, l’accumulation des graisses au niveau du ventre augmente le risque d’apparition d’infarctus, d’accident vasculaire cérébral et de diabète de type II. La chute progressive du taux de testostérone diminue la résistance de l’organisme au stress, affaiblit la masse osseuse et nuit aux capacités cognitives (mémoire, concentration, etc…). A savoir qu’à l’heure actuelle plus de 60% des hommes âgés de 50-60 ans ont des taux exceptionnellement bas de testostérone!

Selon les recherches des plus récentes, la thérapie de remplacement de testostérone diminue considérablement l’ampleur de l’inflammation. Elle permet d’augmenter la densité osseuse du rachis lombaire et de réduire ainsi le risque d’apparition d’ostéoporose. Il a été scientifiquement démontré que la testostérone élevée protège le cœur, préserve la masse musculaire, revigore les performances sexuelles et améliore l’humeur et le sommeil!

La testostérone manquante est distribuée à travers des patchs, des gels, des injections ou par voie orale. La dose appropriée est généralement prescrite en fonction des résultats sanguins ou des tests salivaires. L’impact à long terme de ce type de traitement reste cependant inconnu, notamment en ce qui concerne le risque prostatique.

Dénouées d’effets secondaires, certaines plantes ancestrales (Tribulus terrestris, Eurycoma longifolia, Mucuna pruriens, etc…) permettent de stimuler la production endogène (production naturelle par le corps) de la testostérone sans recours à la thérapie classique traditionnelle.

Les nutriments mentionnés dans cet article :

Tribulus : Stimulez naturellement et relancez de l’intérieur votre propre production de testostérone !

DOPA Mucuna : Remède ayurvédique contre l’apathie, la déprime passagère et l’absence de motivation. Efficace en cas de tremblement, de rigidité musculaire et de perte de coordination.

Testoboost : L’apogée de vos désirs passionnés !

Rate this post

Soyez le premier à commenter

Poster un Commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.




Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.